derecha:
História de Goa :Escrito por Manuel José Gabriel Saldanha(pag 385)Nota del pesquisador: Identificamos en 1799 el Cuerpo de Tropa Volante de Sipais del ejercito portugués en Goa comandado por el Teniente Coronel Francisco Ricardo da Silva.Tambien identificamos al Coronel José Alves de Souza almando de un regimiento de artillería. Identificamos a la marina francesa saliendo del puerto de Brest para Goa.Aquí Vidoc ya había descubierto el Savate en Brest. (pag 395,232)
FUENTE :http://books.google.es/books?id=pEbxPhPod9IC&pg=PA395&dq=Coronel+Jos%C3%A9+Alves+de+Souza+goa&ei=vWyUSZyvDKGayATxuo30CQ
id=hytaeRVPFhQC&printsec=frontcover&hl=es&source=gbs_book_other_versions_r&cad=2_0
Abajo Derecha:
Image populaire de l'épisode de la forêt de SénartCuadro erótico VIDOUCQ:
http://images.google.es/images?gbv=2&hl=es&q=+site:images.openstockphotography.org+%22Eug%C3%A8ne+Fran%C3%A7ois+Vidocq%22LARRIBEAU (1776-185?)Ancien marin présent a la bataille de Trafalgar, il aurait été un des rescapés du naufrage du bateau " la Méduse" (mais n'aurait pas été sur le radeau)Il enseignait la boxe française, la canne, le bâton et l'escrime ainsi qu' une méthode spéciale de défense en 10 leçons"(sic),Il est a l'origine d'une "Théorie du jeu de la canne"Ouvrage:* Nouvelle théorie du jeu de la canne - Paris (1855)* Leçons d'un père à son fils, marin naufragé de la frégate ″la Méduse″Salle: 13 bis passage Verdeau (Paris) - (reprise en 1855 par Louis-Armand Leboucher)
Guide du jeu de la canne
M. Larribeau
Quand il publia ce livre M. Larribeau était ce que l’on appelle un homme d’expérience. Professeur depuis 40 ans, marin pendant 20 ans il avait participé à la bataille de Trafalgar en octobre 1805 et était aussi l’un des derniers survivants des naufragés de la Méduse.
« Ces pages sont le résultat de longues études et de plus de quarante années de théorie et de pratique ; la clarté et la précision ont été notre but, nous espérons l’avoir atteint. Nous avons voulu que tout homme étranger, même aux plus simples notions de l’escrime, puisse saisir et comprendre les détails dans lesquels nous entrons ; que par leur étude il puisse lui-même, sans maître au besoin, apprendre à se défendre, à l’aide d’une canne, contre une attaque imprévue. » M. Larribeau
Cet ouvrage est la réédition intégrale du livre publié en 1856 à compte d’auteur sous le titre : Nouvelle théorie du jeu de la canne, par M. Larribeau professeur d’escrime, de canne et de boxe française, et d’un système spécial de défense qu’il démontre en 10 leçons à l’aide d’une canne pour laquelle il est breveté.
Illustré de 30 planches.
ISBN : 978-2-35422-103-4
164 pages - Format 14x20 cm. 22 € 20,90 €
M. Larribeau
Quand il publia ce livre M. Larribeau était ce que l’on appelle un homme d’expérience. Professeur depuis 40 ans, marin pendant 20 ans il avait participé à la bataille de Trafalgar en octobre 1805 et était aussi l’un des derniers survivants des naufragés de la Méduse.
« Ces pages sont le résultat de longues études et de plus de quarante années de théorie et de pratique ; la clarté et la précision ont été notre but, nous espérons l’avoir atteint. Nous avons voulu que tout homme étranger, même aux plus simples notions de l’escrime, puisse saisir et comprendre les détails dans lesquels nous entrons ; que par leur étude il puisse lui-même, sans maître au besoin, apprendre à se défendre, à l’aide d’une canne, contre une attaque imprévue. » M. Larribeau
Cet ouvrage est la réédition intégrale du livre publié en 1856 à compte d’auteur sous le titre : Nouvelle théorie du jeu de la canne, par M. Larribeau professeur d’escrime, de canne et de boxe française, et d’un système spécial de défense qu’il démontre en 10 leçons à l’aide d’une canne pour laquelle il est breveté.
Illustré de 30 planches.
ISBN : 978-2-35422-103-4
164 pages - Format 14x20 cm. 22 € 20,90 €
Historique de la Savate Boxe Française
Vers la fin du 18ème siècle : Les marins français et génois utilisent une méthode de combat aux pieds pendant les heures de calme, posant une main au sol pour assurer leur équilibre lorsqu'ils frappent en ligne haute.
1797 : Vidocq découvre la Savate alors qu'il effectue une peine de 8 ans au bagne de Brest(Prisión de Brest) http://fr.wikipedia.org/wiki/Bagne_de_Brest Vers le début du 19ème siècle : Apparaît dans le midi de la France, une méthode de combat utilisant exclusivement les pieds : C’est le « le chausson ». Dans le Nord de la France se développe une méthode similaire dans laquelle s’ajoutent aux de pieds quelques coups portés avec la main ouverte : C’est la « savate ».
1820 : Michel Casseux, codifie ces deux pratiques sous un traité appelé « l’art de la savate » et ouvre à la Courtille à paris, la première salle de « savate parisienne ».
1830-1832 : Charle Lecour ( élève de Michel Casseux ) après une défaite face au champion de boxe « anglaise » Owen Swift, décide d’étudier le « boxing londonien », à Paris chez un champion de boxe anglaise : Adams. Charles Lecour après avoir bien assimilé les techniques de poing de la boxe « anglaise », les ajoute à celle des pieds en créant la « savate boxe française ». Il ouvre la première salle de « savate boxe française » passage des Panoramas à Paris. De remarquables boxeurs marqueent cette époque : ( Leboucher, Gauthier ).
1852-1856 : Le prince Louis Napoléon Bonaparte crée l’école de Joinville où on y enseigne la savate boxe française. Louis Vigneron fait sensation en battant le Britannique « Dickson » et ouvre une salle rue de la Michodière à Paris. A la demande de l’impératrice, un décret d’état proclame l’interdiction des sports de combat. La savate boxe française se transforme en exercice « gymnique » et prend le nom de « adresse française ». Ils seront à nouveaux autorisés en 1860.
Vers la fin du 18ème siècle : Les marins français et génois utilisent une méthode de combat aux pieds pendant les heures de calme, posant une main au sol pour assurer leur équilibre lorsqu'ils frappent en ligne haute.
1797 : Vidocq découvre la Savate alors qu'il effectue une peine de 8 ans au bagne de Brest(Prisión de Brest) http://fr.wikipedia.org/wiki/Bagne_de_Brest Vers le début du 19ème siècle : Apparaît dans le midi de la France, une méthode de combat utilisant exclusivement les pieds : C’est le « le chausson ». Dans le Nord de la France se développe une méthode similaire dans laquelle s’ajoutent aux de pieds quelques coups portés avec la main ouverte : C’est la « savate ».
1820 : Michel Casseux, codifie ces deux pratiques sous un traité appelé « l’art de la savate » et ouvre à la Courtille à paris, la première salle de « savate parisienne ».
1830-1832 : Charle Lecour ( élève de Michel Casseux ) après une défaite face au champion de boxe « anglaise » Owen Swift, décide d’étudier le « boxing londonien », à Paris chez un champion de boxe anglaise : Adams. Charles Lecour après avoir bien assimilé les techniques de poing de la boxe « anglaise », les ajoute à celle des pieds en créant la « savate boxe française ». Il ouvre la première salle de « savate boxe française » passage des Panoramas à Paris. De remarquables boxeurs marqueent cette époque : ( Leboucher, Gauthier ).
1852-1856 : Le prince Louis Napoléon Bonaparte crée l’école de Joinville où on y enseigne la savate boxe française. Louis Vigneron fait sensation en battant le Britannique « Dickson » et ouvre une salle rue de la Michodière à Paris. A la demande de l’impératrice, un décret d’état proclame l’interdiction des sports de combat. La savate boxe française se transforme en exercice « gymnique » et prend le nom de « adresse française ». Ils seront à nouveaux autorisés en 1860.
Biografía de Eugène-François Vidocq (23 de julio de 1775 – 11 de mayo de 1857) fue el primer director de la Sûreté Nationale ('Seguridad Nacional') y uno de los primeros investigadores privados. La figura de Vidocq, que tuvo un pasado delictivo, inspiró a Victor Hugo para los dos personajes principales de la novela Los miserables.
VIDOCQ Eugène-François (1775-1851) François Vidocq aurait appris la savate en prison au fort de Bicêtre auprès d'un nommé Jean Goupil "Le Saint Georges de la savate" vers 1797 ... (Mémoires de Vidocq - Paris - 1828)
biografía de vidoucq:http://www.biographie.net/Eugène-François-Vidocq
Vidocq, François (1775-1857). Mémoires de Vidocq, http://visualiseur.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k510007.pdf
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